Livre d'Or Panpan

Sur cette page, vos histoires qui racontent Panpan...

3 commentaires:

  1. Bravo pour l’idée que vous mettez en route pour ce w-end prochain.

    Encore une fois je brillerai par mon absence à cette fête à Pan-Pan. En effet je suis déjà pris ce w-end là et difficile de remettre.

    Depuis quelques année je commence toujours mes spectacles sur une musique de Pan-Pan où j’adapte des paroles souvent. Je continue d’autant plus à sa mémoire avec une pensée pour lui à chaque rentrée en scène.

    Mes amitiés et merci de m’avoir informé, peut-être verrons nous des images sur Internet ?
    Belle musique à chacun, une belle pensée pour Pan-pan (que je connaissais peu en fin de compte mais avec qui j’avais une belle complicité depuis une soirée autour d’un verre chez Pierre !)
    Gérard.

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  2. Philou Blot - 'école qui swingue1 septembre 2015 à 04:59

    On a gardé un très bon souvenir de Pascal. Il est venu plusieurs fois à la maison, d'abord en 1988, en stage à Pontaubert près d'Avallon, puis une seconde fois en 91 ou Il a passé du temps à la correction de ma méthode et contribué brillamment à en expliquer son principe.
    En 1999, il est venu faire un 3ième stage à Junas dans le Gard. A chaque fois nous ne manquions pas le boeuf ! guitare et trompette.

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  3. Des souvenirs de Panpan j’en ai plein la tête ! Je n’ai donc nul besoin d’une cérémonie/concert posthume pour penser à lui.
    Pensons plutôt à ceux qui restent. C’est vrai, ça fait mal, on « a du mal à s’en remettre ». Que dire alors de Marlène, Victor et Mauricette ? C’est à eux qu’il faut penser, c’est eux qu’il faut soutenir.
    Ils sont les seuls garants de la mémoire de Panpan et de tout ce qui le concerne.
    Faudra-t-il leurs faire subir tous les ans une commémoration de Panpan comme un 14 juillet avec « repas tiré du sac » (qu’il ne supportait pas) concert discours et défilé sur scène ?
    Pour moi Panpan c’est une guitare, un accordéon et des chansons lors d’un repas de famille. Tout ce qu’il y a de plus simple !

    Comme il n’est nul besoin de Saint Valentin pour penser à celui ou celle qu’on aime, il n’est nul besoin de « Fête à Panpan » pour penser à Panpan.

    Mon p’tit Panpan, je pense fort à toi !!!

    Ton vieux Cristobal

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